Le résultatÁ la lecture des auteurs des années 1840, les optiques de Chevalier et de Petzval se valaient [16] . Toutefois l’image du Petzval était jugée plus claire et brillante au centre, alors que celle du Chevalier couvrait un peu mieux tout en distordant moins. Mais la neutralité du débat fut longtemps « polluée » par un nationalisme forcené de part et d’autre du Rhin. Il n’existe plus d’objectifs originaux connus de Petzval [17] . Et s’il en reste, les heureux propriétaires n’ont jamais jugé utile de divulguer les données de construction.
Figure 8
: " The Photographer deprives the Artist of his Livelihood."
[…](1843)
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[16] Les plaques témoin étaient observées la loupe, c’est à dire au 1/15 mm tout au plus. A pleine ouverture , le Petzval était manifestement meilleur, n’en déplaise à C. Chevalier ! [17] Du moins à ma connaissance. |
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